Encore un texte trouvé dans mes "archives" ... Peut être une bonne idée pour certains ...
Nous jouons au "poker fessée"
Je suis un passionné de fessées et j'ai la chance de vivre actuellement mon fantasme avec Agnès qui partage mes goûts. Après quelques tâtonnements, elle est vite devenue une experte. Voici le dernier scénario que nous avons mis au point.
Nous utilisons un jeu de dés appelé "Poker d'as" (les cinq dés portent les figures des cartes) et deux dés ordinaires. Lorsque la séance commence, je dois me mettre tout nu tandis qu'Agnès reste habillée. Nous lançons les dés chacun à notre tour. Si je gagne, Agnès enlève un de ses vêtements. Si je perds, je reçois une fessée. L'instrument du supplice est tiré au sort à l'aide d'un dé de poker que je lance. L'as correspond à une fessée manuelle, le roi au martinet, la reine à la cravache, et le valet à la claquette ou au paddle, éventuellement à la règle plate, suivant ce que nous avons à notre disposition. Le nombre de coups est fixé par les deux dés ordinaires. Le sort me condamne alors à recevoir de deux à douze coups. Lorsqu'Agnès est toute nue à son tour, la fessée s'arrête et je peux lui faire l'amour. L'impossibilité de prévoir l'instrument du supplice, le nombre de coups subis, ainsi que le lent déshabillage de ma compagne me procurent une excitation incroyable.
Agnès adore me fesser; elle est très vite troublée et ne tarde pas à mouiller, comme elle me l'a confié. Pour faire durer le plaisir, elle porte un gilet sur son chemisier, un soutien-gorge (alors qu'elle reste habituellement seins nus sous ses vêtements), une jupe courte, des bas et un porte-jarretelles sur son string de soie haute couture. II faut donc qu'elle perde huit fois avant que la fessée ne cesse et que j'aie le plaisir de pénétrer son corps humide et accueillant. Mais déjà, lorsqu'elle se retrouve en sous vêtements, j'éprouve une grande jouissance à la contempler, au point d'en oublier mes pauvres fesses rougies.
Pour la fessée à main nue, je suis en général couché dans la position classique, en travers de ses genoux. Dès qu'elle a quitté sa jupe, ma peine est un peu adoucie par le contact de ses cuisses nues. Je me tortille dessus sans vergogne, par pure sensualité, car ce type de fessée est le moins douloureux à endurer. Sa façon d'abattre sa main sur ma fesse, puis de l'y laisser quelques instants comme pour imprimer sa marque sur ma chair, est une vraie jouissance pour moi.
C’est surtout le côté "imprévu" 'que nous aimons parce que cela met du piquant dans une pratique qui pourrait devenir routinière. Cela évite aussi d'avoir à chercher des prétextes pour mettre une fessée et de se trouver à court d'imagination sur la façon de la donner.
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