Dimanche 11 mars
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Cette histoire est véridique.
Ca s'est passé en 1973 ou 1974 ; j'avais 16 ans et j?allais au collège à une quinzaine de kilomètres de chez mes parents. Il y avait bien sûr des transports scolaires, mais quand je finissais plus tôt et que je n'avais pas envie d'attendre le car, j?essayais de rentrer en stop.
Un jour, quelqu'un s'est arrêté ; je le connaissais de vue, il tenait une boutique de peinture et papiers peints. Il circulait en Méhari et le côté passager était condamné car il y avait un système pour transporter des grandes vitres. Nous avons roulé un moment en parlant de tout et de rien, puis il m'a dit de prendre la revue qui se trouvait dans la boîte à gants en me demandant si j'en avais déjà vu comme celle là. Il s'agissait d'un magazine porno évidemment. Sur celui-ci, rien n'était caché contrairement à tous ceux que j'avais pu voir auparavant. Bien entendu, les photos m'ont fait de l'effet? Il m'a laissé le feuilleter un peu, puis a posé sa main sur mon pantalon en me disant que ça avait l'air de me plaire. Je lui ai répondu que oui et il m'a alors demandé de lui montrer. J'étais à la fois très excité et complètement paralysé. Comme je ne réagissais pas, il s'est engagé dans un chemin et s'est arrêté, puis a ouvert lui-même ma braguette et sorti mon sexe. Il l'a regardé et m'a dit que j'étais plutôt bien monté. Il a commencé à me masturber, puis a sorti sa bite et m'a mis la main dessus. Je bandais à en avoir mal ! Il a continué à me branler tandis que moi, toujours paralysé, je le caressais maladroitement. Je pense qu'il devait avoir l'habitude, car quand le plaisir a commencé à monter, et sans que je ne dise rien, il a attrappé une poignée de kleenex et j'ai éjaculé dedans. Ensuite, il a enlevé ma main et s'est fini lui-même. Avec le recul, je regrette juste de ne pas avoir pu le masturber jusqu'au bout pour voir ce que ça faisait.
Après il m'a raccompagné près de chez moi en me demandant de ne rien dire et en me donnant un billet de 10 francs.
Je l'ai revu quelques mois plus tard dans son magasin mais j'ai refusé ses avances.
Jean Luc
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