Exhibitionnisme ... Voyeurisme ... Plaisirs partagés !!!
En fait Papy n'est pas si voyeur que ça ... mais il adore regarder, voire admirer, ce qui lui est montré ... Faites lui plaisir en lui adressant quelques photos, sous forme de contribution ou d'envoi privé à l'adresse suivante: papyvoyeur57@aol.com
Et surtout, n'oubliez pas de faire quelques commentaires sur les différents articles de son blog, Papy adore les lire ...
Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|
... SUITE
On m’enfonce ensuite le même légume dans la bouche et je me mets à sucer
Après plusieurs allers-retours du concombre, le patron du bar que j’ai planté aux toilettes et que je ne voyais plus arrive et me dit :
« Ecoute poulette ton mari ne va pas très bien, ce qui n'est pas anormal avec les hypnotiques que nous avons mis dans sa boisson. Nous allons le ramener chez lui et nous nous occuperons bien de toi. Pendant que tu t’éclatais comme une bête j’ai pris un bon nombre de photos, tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n’étais pas consentante. Alors on va continuer à s’amuser puis on te ramènera chez toi, mais tu as encore du temps devant toi. En plus de fermer ta gueule et tu viendras une fois par semaine vider nos couilles »
Il me balance deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer. Pas très longtemps car le patron s'empare d'une bouteille de bière l'ouvre et me l'enfonce dans l'anus déjà dilaté.
Sous la poussée anale, l’objet déjà enfoncé dans mon vagin est expulsé ; Drôle de sensation que me procure cette bière froide qui envahit mes intestins. Il s’applique à de long va et vient, j’écarte de nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu’il puisse l’enfoncer complètement dans le cul, à chaque aller et retour la bière gicle, puis il alterne avec mon sexe, jette la bouteille et me sodomise à son tour pendant que les autres réinvestissent ma bouche et me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.
Bien que toujours saoule, l’effet de l’alcool se dissipe un peu et je mesure un peu mieux la réalité de la situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails. Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne s’intéresse de nouveau à moi. Maintenant j’ai peur, j’ai affreusement honte et n’ose rien dire. Je pense à mon mari étalé sur la table et que j’ai trahi de la façon la plus odieuse, je pense à la jouissance que j’ai eu et me sens coupable.
On recommence à me caresser délicatement l’entre jambes et les seins ; Broute minou repasse à l’action et me lèche alternativement minou et anus. Je sens malgré moi le désir monter à nouveau, mes cuisses s’écartent et mon sexe béant est prêt à accueillir de nouveau. On me détache, me met au sol à quatre pattes et le patron du bar arrive avec ses deux dobermans. Il ordonne à l’un de ses chiens de se coucher devant moi et me dit :
« Suce salope, t’es juste bonne à soulager mes chiens ».
Devant mes faibles protestations je reçois une nouvelle paire de claques. Ecœurée, c’est en larmes que je m’exécute.
Le sexe moyen du chien commence à gonfler dans ma bouche pour devenir d’une taille plus que respectable. Le patron me besogne par derrière pendant ce temps, je sens la jouissance monter, la verge du chien est devenue énorme et rouge, je m’active de plus en plus sur la bite et c’est avec bonheur que j’avale la purée de « Médor » qui gémit de bonheur, je le maintiens le plus longtemps en bouche possible en espérant en vain de lui redonner vigueur. Puis c'est au tour du second chien de venir remplir mon anatomie, à la place de son maître qui vient de se répandre dans mes entrailles. Le chien s’active bestialement et je l’aide dans son mouvement en rythmant ma croupe à ses assauts et c’est avec lui que j’explose d’un plaisir encore inconnu à ce jour. Le chien se retire et s’applique à me lécher longuement le sexe et l’anus qui dégoulinent.
Je constate que l'on ne cesse de me prendre en photo.
Les festivités terminées, les deux compères qui n'ont pas participé aux festivités m'attrapent sans ménagement et m'entraînent nue à l'exception de mes bas, dans leur voiture. Quelques kilomètres plus loin et nous arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle durant la nuit. Pendant tout le parcours celui qui était monté à l’arrière du véhicule avec moi a maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir et c’est excitée comme une chienne en chaleur que je suis offerte comme une putain.
Moyennant quelques Euros la passe, je me fais reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, j'ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard à souhait qui m’a prise par devant et par derrière avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme. Il me pelotait déjà les fesses dés qu'il le pouvait au bureau et ne s’en privera plus désormais. La cerise sur le gâteau : Deux clochards me saute en même temps à titre gracieux.
Suite à cela les deux hommes me raccompagnent chez moi. Arrivés, ils vont voir si mon mari, que l’on a effectivement raccompagné, dort toujours. Dans notre lit, pas très en forme dans un semi-sommeil à moitié shooté, à moitié conscient, il nous regarde en disant des choses incompréhensibles. Il se fait déposer gentiment par terre.
« Boum ! » et les deux hommes investissent notre lit, ils m’attrapent et me violent à leur tour, m'embrassant à pleine bouche, me pétrissant sexe et seins, me pénétrant encore et encore devant mon homme qui nous regarde l’air hébété. Ils m’obligent à me coucher sur lui, en faisant en même temps une fellation à l’un de mes tortionnaires pendant que l’autre continue à prendre des photos, Ils m’enculent à tour de rôle et pour finir en m'urinent dans la bouche pendant que je crie de jouissance.
« Bon Anniversaire de mariage chérie » me disent ils.
« T’es une baiseuse de première », « A l’avenir, évite de te faire sucer le nougat devant les bars, ça t’évitera des ennuis », « Pour ton mari, t’inquiètes pas, demain il aura la gueule de bois mais ne se rappellera pas de tout, débrouilles-toi pour t’inventer une histoire »
Et ils disparurent.
Tout c’est passé comme ils me l’avaient dit, mon mari ne se rappelle plus de ce qui c’est vraiment passé après le troisième verre, hormis un vilain cauchemar dans lequel je me faisais violer devant lui sans qu’il puisse intervenir, mais ce n’était heureusement qu’un mauvais rêve argumente t’il !
Je me rends régulièrement au bar « chez ROBERT « ou je me fais défoncer tout aussi régulièrement, bouche, anus et sexe avec de nouvelles variantes : lesbiennes, fisting, hommes de couleurs, gang bang organisés, pipes aux clients sous la table et bien d’autres asservissements.
A chaque fois je récupère une photo.
« Quand tu auras récupéré toutes les photos tu seras libre poulette » me dit le patron, « A moins que tu n’aimes ça »
Quant à mon collègue de travail, il expérimente avec moi tout ce que sa femme n’accepte pas. Je ne compte plus les fois qu’il me prend dans les toilettes de l’entreprise parfois avec d’autres collègues qu’il a mis au courant. Il ne se passe plus un jour sans qu’on me touche les fesses sous ma jupe, même une collègue lesbienne profite de la situation.
Ne pouvant ne me confier ni à mon mari ni à la police, je suis allé voir un « psy » Je me suis confié à lui, lui ai narré mon aventure telle que je viens de le faire. Il m’a écoutée, et m’a déclaré froidement qu’il n’avait jamais entendu d’histoire aussi bandante.
Il se rend maintenant régulièrement au bar « CHEZ ROBERT » et me baise à chaque occasion.
Mon mari n’est au courant de rien, je l’aime toujours autant et lui aussi même s’il se plaint de temps en temps de ma moindre disponibilité sexuelle.
C'est le premier article d'un blog que je lis entièrement. Assez dur quand même , mais si c'est vraiment de toi , bravo.
Bises
Greg et Clo
Comme tu dis, assez dur, j'ai d'ailleurs hésité avant de le mettre en ligne ...
Non, c'est un texte que j'ai reçu. Bisous