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Jeudi 12 avril 4 12 /04 /Avr 00:40

Le petit cabinet noir

En pleine période que je qualifierais d’«exploratoire», pendant laquelle je me livrais, aussi souvent que possible, à des séances de découverte dans les culottes de mes petites amies, je rencontrais trois fillettes qui créèrent un certain trouble dans mon esprit et m’ôtèrent un peu de ma candeur naïve.
Ma mère me laissa pendant tout un après-midi chez une amie, en compagnie de sa fille et de deux camarades de celle-ci qui avaient le même âge. Je me trouvais donc, seul garçon, avec une gamine que je connaissais très peu et deux que je ne connaissais pas du tout. Le jeu qui s’imposa immédiatement à nous était le jeu de cache-cache. Je compris très vite que ce choix n’était pas sans arrière-pensée dans l’esprit des fillettes. L’une d’entre elles s’y étant collée, les deux autres disparurent comme par enchantement. Je me retrouvais seul dans un immense appartement dont j’ignorais tous les mystères, et je me dissimulais comme je pus. J’étais un peu déçu de me retrouver seul, mon imagination m’ayant laissé entrevoir la possibilité de me retrouver dans un coin obscur, avec une, au moins, de ces gamines.
La fillette, qui nous cherchait, était une splendide petite rousse, avec des yeux verts intimidants. Elle ne tarda pas à découvrir ma cachette. Au lieu de pousser les habituels hurlements qui accompagnent traditionnellement cet événement, elle me fit signe de garder le silence et, me prenant par la main, me conduisit en un lieu plus retiré. Je me retrouvais donc, le cœur battant à se rompre, enfermé avec elle dans une grande armoire, au milieu de vêtements pendus. À partir de là, je retrouvais mes points de repère, il ne me fallut pas longtemps pour être agenouillé près d’elle et pour faire glisser sa culotte sur ses jambes. Poli, je commençais par rendre une petite visite à sa jolie quéquette. J’en étais alors à une époque d’évolution avancée et c’est avec fierté que je lui fis bénéficier de l’adresse de ma langue. Ce petit sexe de rousse, qui commençait à se parer d’un duvet assorti, m’a laissé un souvenir inoubliable. La fillette, je le compris plus tard, s’était déjà livrée à des jeux pas très innocents avec ses camarades, avant mon arrivée. Son sexe était empli de sucs, aux parfums poivrés, que je trouvais immédiatement délectables. C’était la première fois que j’approchais une rousse, et ce fut sans doute le début du puissant fantasme qui ne m’a jamais quitté depuis. Pour être plus à l’aise, je demandais à ma partenaire de ce baisser. Tout ce qu’elle put faire dans ce réduit exigu, c’est de s’asseoir avec les jambes écartées, le dos penché en arrière. Cela suffisait à mettre son sexe bien en évidence. Dégageant, avec une détermination farouche les vêtements suspendus qui me gênaient, je m’accroupis devant elle et, soulevant son cul avec mes deux mains, je plongeais ma langue dans sa petite moule ruisselante de liqueurs marines. Ce fut un véritable festin pour tous mes sens : mes mains caressaient ses fesses mignonnes, ma langue léchait ses saveurs épicées et mon nez s’imprégnait de parfums dont la violence me troublait l’esprit comme un fumé hallucinogène. Comme toujours, je gardais le petit oeillet voisin pour le dessert, mais j’avoue que jamais plat de résistance n’avait été aussi savoureux. Pour la première fois, j’avais affaire à une partenaire qui manifestait du plaisir sous mes caresses.
Mes petites complices précédentes se laissaient faire complaisamment, mais ne manifestaient aucun signe de jouissance. Avec celle-ci, les choses étaient très différentes, elle gémissait doucement et frissonnait au rythme de mes coups de langues. Je découvris ainsi que le plaisir pris par ma partenaire pouvait décupler le mien. Je découvrirais, plus tard, que le plaisir de ma partenaire pouvait être une fin en soi et que, lorsqu’il était particulièrement généreux, il pouvait même se substituer avantageusement au mien. Avant que je puisse consommer mon plat favori, des appels se faisant entendre, nous dûmes quitter notre cachette. Extrêmement déçu, je suivis ma compagne qui retrouva rapidement ses deux amies. Celles-ci paraissaient ravies de la tournure du jeu et pas du tout surprises de nous voir revenir ensemble.

Une nouvelle chasseuse fut désignée et les deux restantes m’entraînèrent vers un lieu retiré de l’appartement. Celle qui devait nous chercher étant la fille du propriétaire du lieu, je doutais que nous puissions trouver un coin qui échappe longtemps à ses recherches. Je me trompais, ou plus exactement, j’ignorais les véritables règles du jeu, ce qui faussait ma juste appréciation des choses.
Les deux fillettes me conduisirent dans un petit cabinet noir, dont je pus mal apprécier l’usage, mais qui avait la particularité d’être pourvu, sur son mur du fond, d’un judas qui permettait de voir l’ensemble du palier de l’immeuble. Je n’eus pas le temps de chercher à éclaircir le mystère du petit cabinet noir, mes deux complices ayant d’autres projets. Je me retrouvais, sans aucun préambule, coincé entre deux filles qui semblaient avoir des idées bien arrêtées. De l’une, je sentais encore les fragrances vivaces sur mes mains et sur mes lèvres, de l’autre, j’ignorais tout. Elles me manipulèrent avec une dextérité étonnante, étant donnée l’obscurité totale du lieu. Un peu étourdi, je me retrouvais debout en train de fureter dans la culotte de la petite rousse, debout à côté de moi. La brune qui s’était jointe à nous ou, plus exactement, qui nous avait entraînés avec elle et qui dirigeait les opérations avec autorité, s’était agenouillée près de moi. Lorsque j’essayais de m’accroupir moi-même, pour tenter de finir le succulent festin que j’avais commencé dans la cachette précédente, la brune me fit comprendre, par gestes, qu’il n’en était pas question et que je n’avais d’ailleurs droit à aucune initiative personnelle. Me résignant à des palpations de l’objet de mon désir, ce qui n’était déjà pas mal, je fus soudain surpris de sentir une main qui touchait mon sexe sans ménagement. J’avais toujours, jusqu’ici, partagé mes ébats sexuels avec des fillettes plus jeunes que moi, dociles mais passives. Je découvris, pour la première fois, que je pouvais moi aussi être l’objet d’attouchements et de caresses. Sur ce plan-là, la brunette semblait avoir une expérience non négligeable. Sa main s’était prestement introduite dans mon pantalon et branlait savamment mon sexe en érection. J’en oubliais la petite rousse qui entreprit de guider ma main pour ne pas être complètement délaissée. Pendant que sa camarade frictionnait vigoureusement ma verge, elle utilisait mes doigts au mieux de ses désirs. Sans en être réellement responsable, je me retrouvais avec un doigt dans sa petite chatte et un autre dans son anus. J’avoue que j’avais attendu cette charmante enfant pour découvrir la double pénétration, et les jeux auxquels se livraient mes deux doigts en se cherchant à tâtons à travers une paroi qui me parut étonnamment mince. Cette découverte m’avait fait oublier la brune, elle se rappela soudain à moi en engouffrant mon membre gluant dans sa bouche. Cette fois-ci s'en était trop, cette dernière révélation eut un effet tellement violent sur mon esprit, et sur mon organisme, que j’éjaculais subitement dans le bec de la petite gourmande. Aspirant goulûment et bruyamment mon foutre jusqu'à la dernière goutte, elle téta avec soin les dernières parcelles de sperme qui suintaient, puis se leva dignement et me gratifia d’un «salaud» avant de nous entraîner tous les deux vers la porte du cabinet. Je libérais, en catastrophe, mes doigts toujours profondément enfoncés dans les orifices voisins de la petite rousse. Celle-ci ne protesta pas, visiblement subjuguée par sa compagne.

Le tour suivant fut, curieusement, à nouveau celui de la fillette rousse. Les deux autres partirent résolument vers le cabinet noir sans m’inviter à les suivre. Je leur emboîtais quand même le pas, sans comprendre réellement que ma présence n’était pas souhaitée. Nous nous retrouvâmes dans le même lieu confiné, mais la donne des cartes n’était plus la même : les deux copines avaient visiblement décidé que je tiendrais le rôle du mort. C’est ce que je fis. L’obscurité étant totale, je ne voyais pas ce que faisaient mes deux voisines, mais je compris très vite qu’elles s’occupaient gentiment entre elles et qu’elles avaient décidé de se passer de moi. Désoeuvré, je m’approchais du judas et ouvris sa large grille. La vision du palier ne m’apporta que peu de distraction, mais je découvris que la lumière, que l’ouverture laissait pénétrer, m’offrait un spectacle intéressant dans le petit cabinet. Les deux fillettes étaient couchées par terre, l’une sur l’autre, tête-bêche. En quelques heures, mon éducation sexuelle avait progressé à pas de géant. Je découvrais une position, dont je ne pus apprécier toute la saveur que beaucoup plus tard, dans une combinaison hétérosexuelle, naturellement. Les deux gamines semblaient avoir découvert cette posture depuis bien longtemps et s’y livraient avec beaucoup de conviction. Leurs gémissements se mêlaient à des bruits de succion d’une telle violence que, malgré ma faible expérience, j’imaginais que leurs organes génitaux seraient fortement échauffés à la fin de la séance. Cela n’eut pas l’air de les gêner quand elles cessèrent leur petit jeu, pas plus d’ailleurs que le fait que j’en avais été le témoin.

Lorsque ma mère revint me chercher, je quittais ce lieu de délices avec la tête enflammée d’espérances folles, pensant que j’allais bientôt retrouver les trois fillettes pouvoir élargir encore mon champ d’expérience. En fait, il n’en fut rien, je ne revis jamais la brune et la rousse, quant à la blonde fille des amis de mes parents, je ne la revis que beaucoup plus tard, à une période bien différente de ma vie amoureuse.

Par Lionel - Publié dans : Textes: Récits, poèmes ...
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