Exhibitionnisme ... Voyeurisme ... Plaisirs partagés !!!
En fait Papy n'est pas si voyeur que ça ... mais il adore regarder, voire admirer, ce qui lui est montré ... Faites lui plaisir en lui adressant quelques photos, sous forme de contribution ou d'envoi privé à l'adresse suivante: papyvoyeur57@aol.com
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Mai 2025 | ||||||||||
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Jacqueline, la porte étroite
La délicieuse Gina m’avait ouvert le chemin des profondeurs mystérieuses et humides du sexe féminin, elle avait aussi placé la barre très haut, trop haut sans doute. Heureusement, la capacité d’oubli de l’homme est très grande et, s’il ressent intensément les plaisirs sexuels sur l’instant, il a du mal à en graver les détails dans sa mémoire. Peu à peu, les deux brèves étreintes que j’avais connues avec Gina devinrent plus mythiques que réelles dans mon esprit. Le souvenir de la jeune femme, qui longtemps après fait encore mes délices, ne perturba pas sérieusement le déroulement de ma quête de la sexualité.
Jacqueline devait absolument profiter des leçons que m’avait données Gina. Je décidais de la dépuceler au cours de la première soirée musicale qui suivrait ces heureux événements.
Enfin, l’occasion se présenta. Après que nous ayons échangé un long baiser, Jacqueline se précipita à la fenêtre pour se dédouaner aux yeux de sa mère. Je lui emboîtais le pas et soulevais posément sa jupe, que je repliais soigneusement sur son dos, à une hauteur suffisante pour dévoiler son cul, mais pas trop haut. Un huis entrebâillé m’a toujours séduit davantage qu’une porte grande ouverte. Je fis glisser ensuite lentement sa culotte vers le bas. Elle fit mine de l’enlever, je l’en empêchais avec empressement. Il n’est pas d’image qui me séduise davantage, que celle d’un beau cul apparaissant entre une robe soulevée et une culotte baissée à mi-cuisses.
Les femmes n’aiment pas, en général, laisser traîner leur culotte entre les mains des hommes. Elles ont toujours peur que quelques traces n’y apparaissent, qui puissent faire douter de la netteté de leur personne. Malheureusement, elles confondent souvent les traces humides de leur excitation, avec des traces moins sympathiques pour leur compagnon. Qui a-t-il de plus excitant qu’une petite culotte de femme, abondamment mouillée par les sécrétions sexuelles que crache son minet en chaleur ? Je possède, parmi mes reliques, une culotte en dentelle que j’ai demandé à une femme aimée de porter longuement au cours de l’une de nos rencontres. Je l’ai fait jouir à plusieurs reprises dans sa culotte, avant d’enlever ce sublime souvenir que je conserve depuis à l’abri de l’air. Des années plus tard, les sécrétions, qui se sont déposées sur le fin voile, m’apportent encore le vibrant souvenir parfumé de la belle.
Mis en appétit par la vision de la pleine lune qu’elle offrait à mes caresses, non sans avoir d’abord rendu hommage à ce cul royal par quelques baisers appliqués au point le plus intime qui en marque le centre, j’approchais mes organes génitaux de sa fente accueillante et déjà largement humide. La jeune fille eut un moment d’affolement. Je compris immédiatement que cette réaction était due au fait que c’était la première fois, depuis la période fauve, que je procédais ainsi. Pour calmer ses appréhensions, sans avoir à lui parler d’un sujet qu’il m’était toujours difficile d’aborder, je me penchais à nouveau et, écartant légèrement ses grandes lèvres, je léchais longuement l’intérieur de son sexe, déjà gluant à souhait, pour témoigner de la propreté de celui-ci. Je ne pus résister au plaisir de rendre un nouvel hommage, au passage, au petit voisin qui accueillit ma langue avec un plaisir non feint. L’ayant rassurée sur la fraîcheur relative de son intimité, je repris ma position debout. Me penchant sur elle, aussi loin que le permettait l’ouverture du volet qu’il m’était interdit de franchir, je lui murmurais d’une voix rauque :
· Ma petite, c’est aujourd’hui que tu le perds ! Je vais m’offrir ton pucelage.
Elle ne réagit pas à ces paroles, il me sembla tout au plus qu’un long frémissement lui parcouru l’échine. Je souris en pensant qu’un nouvel apport d’humidité allait faciliter encore mon entrée.
Tenant ma verge de la main droite, je caressais longuement, avec mon gland, la fente de son sexe. Je pouvais facilement juger de l’effet provoqué par cette caresse : sa vulve, suivant les mouvements du gland, semblait se transformer en une petite bouche gourmande qui cherchait à engloutir le taquin. Jugeant que j’étais en bonne position, je poussais soudain mon vit dans son vagin. Nous eûmes la même réaction, en même temps : un tremblement nerveux s’empara de nos jambes pendant que nous gémissions en harmonie. Elle rejeta vivement sa tête en arrière, tout en se tenant toujours dans la même position, croupe proéminente et mains accrochées au garde-fou de la fenêtre.
J’étais surpris de la facilité relative de ma pénétration. Certes la voie était étroite, mais mon membre y entrait comme si l’ouverture avait été faite pour lui.
Spontanément, Jacqueline avait découvert un mouvement, de son bassin et de son ventre, qui faisait naviguer le col de son utérus le long de ma verge, comme je croyais, jusque-là, que seuls sa bouche ou ses mains pouvaient le faire. Reprenant mes esprits, je m’appliquais à garder le contrôle de mes sens pour éviter d’arriver trop rapidement à l’éjaculation. Ce n’est qu’après que ma partenaire eut joui pour la troisième fois, que je laissais libre cours à ma sensibilité et atteignis l’orgasme. Renonçant à la quête d’une jouissance simultanée, qui me semblait être un objectif intéressant à conserver pour les joutes à venir, je lâchais les vannes à mon sperme que je pris soin d’éjecter sur ses fesses joufflues, loin du réduit dangereux. Je découvris ainsi qu’il n’était pas désagréable de mâchurer ses rondeurs avec ma semence laiteuse.
Au moment de nous séparer, lorsque mon amie s’écarta enfin de sa fenêtre, je m’empressais de la coucher sur le lit pour essayer de la baiser dans la classique position du missionnaire. Qu’elle ne fut pas ma surprise de m’apercevoir que la belle était encore vierge : j’étais entré par la porte des gynécologues, sans réellement déchirer son hymen. C’est ainsi que j’ai eu droit à un second dépucelage, qui mit plus à mal mon gland que le précédent. Le départ de Jacqueline me laissa pantelant sur mon lit, avec l’impression d’avoir la bitte en chou-fleur.
Toutes ces péripéties, agréables au demeurant, m’écartaient de mon sujet principal d’intérêt, le cul.
Le pucelage de Jacqueline était pour un moi un premier pas. Mis en appétit, j’envisageais à présent de prendre d’assaut le tendre oeillet voisin. Tendre ? C'est à voir ! Si la fille est rebelle, le modeste petit orifice devient une citadelle imprenable.
Une adolescente de 15 ans, amoureuse, ne peut pas se transformer bien longtemps en une citadelle imprenable pour son amant. Il ne me fallut pas user de beaucoup de persuasion pour pouvoir me retrouver, le cœur battant à rompre, à l’entrée du lieu de toutes mes délices. Après avoir abondamment lubrifié, à grand renfort de salive, son petit trou soumis à mes caprices, je tentais une entrée en force. Échec et mat ! Bien qu’elle affirmât sa volonté de me satisfaire, ma douce partenaire ne pouvait pas m’ouvrir son petit paradis autant qu’il aurait fallu qu’elle le fasse. Il était vraiment très étroit. Ce qui par ailleurs n’arrangeait rien, c’est qu’il suffisait de le présenter devant l’ouverture rétive, pour que mon sexe atteigne des proportions exceptionnelles. Malgré la bonne volonté affichée par la jeune fille, je me rendais compte qu’il y avait une impossibilité physique, pour mon membre, à pénétrer dans ce réduit sans provoquer d’atroces déchirures.
Une lecture fiévreuse, du livre «Histoire d’O», me laissait entrevoir de longs et délicats travaux d’approche. Je confiais l’ouvrage à Jacqueline pour qu’elle se fasse une idée de ce qui l’attendait et remis à plus tard l’exploration de mon orifice favori.
Ici, l'auteur possède suffisamment d'expérience et de sagesse pour apprécier le calibre de la serrure et celui de la clé...
Un récit à la fois sensuel et érotique qui nous permet d'appréhender les arcanes d'une initiation sans brusquerie : J'aime !
Baisers veloutés
Elise
E&M
Et moi j'aime quand tu aimes ... J'ai aussi bien aimé ce texte ... lol
Bisous coquins